Nous sommes obligés
d’exister, et pourtant nous sommes punis, au maximum (disent-ils),
de privation d’existence si nous commettons une faute jugée
inqualifiable par nos juges. La, pseudo, « peine » de
mort (ou autre peine d’incarcération) n’est évidemment qu’un
bon débarras !
Nous avons un cerveau
vierge de signification culturelle, nous arrivons dans un système de
droits, lois, et règles, qui nous sont imposés. Nous avons tous un
corps et un intellect différent des autres, avec des QI et QP
(Quotient Physique) très variables, et plus ou moins malléables
donc plus ou moins facilement éducables.
Nous sommes éduquées
obligatoirement, et mal, parce qu’il est impossible de maitriser
cette éducation. Nous sommes éduqués en sociétés par des
grossistes de l’éducation, et rarement dans le détail, comme si
nous étions tous des copies conformes.
Nous sommes, ensuite,
lâchés dans la société, après une jeunesse, où notre cervelle
bouillonnante, en état de construction permanente, et de remplissage
constant, a été le brouillon sur lequel ont écrit nos éducateurs,
parentaux et sociétaux, et ensuite advienne que pourra de cette
copie.
La copie doit se
débrouiller toute seule, elle est déclarée responsable de tout ce
qu’elle va faire, alors qu’elle n’est responsable de rien, ni
de son existence, ni de son corps, ni de son intellect, ni de son
éducation, ni du milieu,
et pas plus des règles
que les éducateurs ont tenté, dans les parties essentielles, avec
plus ou moins de bonheur, d’envie, de responsabilité, d’intégrer
au système qui est cette nouvelle personne, ce nouvel associé.
Il faut ajouter, pour
l’excuse des éducateurs, tout aussi dépourvus de libre arbitre
que l’élève, qu’ils sont le résultat du même cheminement
absurde, et plus proche de Cro-Magnon que l’enfant, pâte à
modeler, qu’ils ont entre les mains.
Au début, le pouvoir
fait le droit, et pas l’inverse, mais après on l’oublie, les
lois faisant partie du paysage. Tout droit, toute loi, toute règle
doivent être soumis à la connaissance du fonctionnement aussi
réaliste et véridique que possible de l’être humain, de la
matière, de l’univers, de la société elle-même.
Ces droits, lois, et
règles ne peuvent pas, par coutume ou par facilité, ne pas
respecter les nouvelles connaissances que la science apporte à la
compréhension du monde, et surtout au fonctionnement des individus,
de chaque individu.
Les droits, les lois, les
règles doivent être justes et équitables, comment pourraient-elles
l’être sans respecter la Vérité autant que possible ? La
Vérité du monde, la Vérité de l’individu…
Fabriquer une existence,
c’est, bien évidemment, pour le service du fabricant. Cette
fabrication, il faut le rappeler, est faite à l’aveugle sans
aucune maitrise. Imposer d’exister, c’est aussi imposer le corps,
le milieu, la culture, l’éducation dans un intellect vierge de
signification culturelle, ainsi que les règles du jeu. Il est bon de
le répéter.
Si nous sommes des êtres
moraux (nous avons du moins inventé la moralité et les Droits),
comment imposer une règle à quelqu’un qui ne peut la refuser ?
Est-ce moral ?
Quelle différence
fait-on entre le travail obligatoire, pour le préciser appelons-le
par son nom « esclavagisme », et imposer à quelqu’un
de travailler parce qu’il n’a d’autre choix que mourir s’il
ne gagne pas sa vie, c’est-à-dire qu’il doit acheter son corps,
alors qu’on lui a imposé d’exister ?
Quelle différence
fait-on entre l’obligation de suivre des règles imposées par un
dictateur et des règles imposées par une Démocratie par ‘simple’
obligation d’exister ?
« La création
d’une existence ne sert que ceux qui existent déjà, quand il ne
maitrise pas cette création ni le chemin que suivra cette existence,
le créateur est soit un animal ou un idiot, soit un négrier, voire
un sadique. »
Quand nos parents créent
nos existences, pour leur service personnel (ce n’est pas nous qui
demandons à exister), nous naissons avec un système nerveux
totalement vierge de signification culturelle. Ce système nerveux
est une mémoire blanche, un livre blanc culturellement.
Nous ne possédons en
mémoire aucun mot ni aucune fonction associée à la culture
familiale et sociale. Toutes les fonctions culturelles vont être
enseignées et acquises pendant notre existence. Nous n’avons pas
demandé à exister. Nous avons été violemment introduits dans la
Jungle sociale, dans la poubelle Terre, sans notre accord.
Notre vie sera une
loterie. Le corps que nous possédons est lui-même une loterie,
sexe, QI, santé, évènements, durée de vie, tout est loterie. Nos
parents ont joué à la loterie sur notre dos sans vergogne, jamais
ils ne s’excuseront de nos défauts, ils seront juste contents de
ce qu’ils nomment qualité.
Pour introduire ces
fonctions mentales sociales que nous n’avons pas de naissance, ils
ne savent pas comment faire, personne ne le sait, ça marche en
général à peu près avec un formatage ‘dru’, mais c’est à
eux de le faire, aux parents et à la société. Ils veulent nous
insérer dans la société, ils veulent donc que nous ayons des
fonctions mentales agréées par la société, c’est à eux de le
faire, pas aux enfants.
Les enfants n’y sont
pour rien. Ils ne sont pour rien dans leurs existences ni dans leurs
fonctions mentales qui vont leur permettre ou pas de s’insérer
correctement dans la société. Tous ces enfants ont des QI très
variables, cela va de zéro, le légume total, au surdoué et à
quelques génies. Pensez-vous que toutes ces différences
intellectuelles donnent les mêmes possibilités à chacun de
s’insérer dans la société ?
Nous naissons inégaux,
intellectuellement et physiquement, mais égaux selon les Droits de
l’homme et devant la loi. Quelle que soit la qualité des fonctions
mentales que vos parents ont réussi à insérer dans votre système
nerveux, c’est vous qui prendrez si vous commettez un acte
antisocial, ou si vous n’êtes pas en mesure de servir la société
correctement.
Ce sont vos parents et la
société qui créent et demandent vos existences, ce sont eux qui
introduisent les fonctions mentales sociales en vous, mais c’est
vous qui prendrez alors que ce sont eux qui se sont loupés dans
votre création et dans votre insertion. Vous êtes les dindons de la
farce humaine.
Mais ceci est valable
pour vos parents et leurs ascendants jusqu’à la bébête initiale,
et c’est pour cela que la progression de l’humanité est lente.
Dommage que l’accroissement de la population soit plus rapide que
la diffusion de la compréhension !
Avez-vous bien noté la
phrase suivante, Madame Nulle, et surtout l’avez-vous comprise ?
« La création
d’une existence ne sert que ceux qui existent déjà, quand il ne
maitrise pas cette création ni le chemin que suivra cette existence,
le créateur est soit un animal ou un idiot, soit un négrier, voire
un sadique. »
Le doute profite à
l’accusé. Or, personne ne peut démontrer l’existence du libre
arbitre puisqu’il est impossible. Mais pourquoi les gens sont-ils
punis par une société qui n’a même pas demandé à la science
officielle de faire cette démonstration ?
Nos gouvernants, nos
législateurs, et nos juges sont-ils irrationnels à ce point ?
Pourquoi les avocats et
les accusés ne profitent-ils pas de cette absence de démonstration ?
Pourquoi les condamnés sont-ils enfermés dans des
cellules-chiottes ? Mystère !
Il y a nécessairement
une différence entre un être humain résultant d’une création,
et un humain résultant des seuls mécanismes de l’univers. Dans le
premier cas, nous sommes créés avec des fonctionnalités décidées
par notre constructeur, et dans le second nous sommes des éléments
de l’univers adaptés à lui parce que nés de lui, mais sans
aucune intention.
Ces deux entités ne
peuvent être identiques. Depuis des milliers d’années, nous
vivons en nous croyant des êtres supérieurs. Nous sommes éduqués
par nos parents et nos sociétés comme des enfants divins. Moi,
l’auteur, personnellement, je n’ai aucun pouvoir particulier, je
ne suis pas télépathe, et ne possède aucun libre arbitre. J’aurais
aimé être éduqué comme tel.
L’humanité a besoin de
remettre tout à plat, de la naissance à la mort. Il faut tout
remettre en cause, l’éducation, la Justice, la gouvernance, etc.
Tout est fait selon le premier schéma, il faut tout faire selon le
second schéma.
Aujourd’hui, des
millions de personnes sont stockées en prison parce que nos justices
ont décidé que d’après le premier schéma elles étaient
responsables. C’est infiniment stupide de créer un humain, de le
mal éduquer, et de l’enfermer. Pire encore, de lui ôter la vie
donnée par vous, en le punissant pour des fautes de création et
d’éducation dont il n’est pas responsable…
Le libre arbitre n’existe
pas, puisque l’univers ne peut faire de mécanismes allant à
l’encontre de ses propres mécanismes. Cela implique que le juge
n’est pas responsable de ses propres actions… Mince alors !
mais si le juge n’est pas responsable alors le criminel ne l’est
pas non plus…
Bah ! inventons le
libre arbitre, comme ça plus de problèmes. Et pendant qu’on y
est, inventons l’immortalité. Et puis ajoutons une âme… Et
ajoutons un créateur. Voilà le tour est joué, bien joué, et
empêchons les gens d’y réfléchir en les faisant bosser comme des
esclaves, ils ne s’apercevront de rien. Surtout, passons sous
silence l’idée que le libre arbitre n’existe pas… Chut !
(Si vous êtes croyant,
ce qui suit ne s’adresse pas à vous. Le croyant a des convictions
qui n’ont pas besoin de démonstrations, et afficher une
conviction, c’est peut-être beau, mais ça n’a aucun intérêt
quand on ne se connait pas.)
Ce n’est pas
l’affirmation ou la dénégation qui fait l’existence ou
l’inexistence des faits (des fées), c’est la démonstration. Un
cheval peut être rétif, et ce n’est pas son refus qui indique
qu’il a un libre arbitre. Mon ordinateur peut afficher « non »
et ce n’est pas ce qui lui donne un libre arbitre. Un robot
pourrait apprendre à refuser d’accomplir une action qui le
desservirait, il suffirait de le programmer.
Un enfant apprend à dire
« oui » ou « non » à bon escient ou pas, ce
n’est pas la prononciation de ces mots qui fait un libre arbitre,
pas plus que les actions associées. Si je parle français, c’est
parce qu’on m’a contraint de naitre et contraint d’apprendre le
français. L’univers ne peut faire de mécanismes allant à
l’encontre de ses propres mécanismes.
L’horloge donne
l’heure, et pas l’inverse, l’être humain donne la pensée, et
pas l’inverse. La pensée n’active pas les neurones, mais
l’activité des neurones donne la pensée.
Le libre arbitre serait
le fait de se déterminer soi-même (en toute connaissance de cause
et d’effet), comment faites-vous ça ? Si vous le savez,
faites-le-moi savoir et transmettez vos découvertes à l’Académie
des sciences, et surtout à la Justice.
Depuis qu’ils punissent
les hommes, ils seront enfin contents de savoir qu’ils ont eu
raison d’enfermer les gens, ou de les mettre à mort… Jusqu’à
aujourd’hui ils ignorent pourquoi ils le font, sauf que c’est
bien plus facile pour la société de se débarrasser du problème de
gens mal éduqués par la société elle-même.
C’est pratique de faire
croire aux gens qu’ils ont un libre arbitre afin de les rendre
punissables dans des conditions de maltraitance ignobles.
Ces gens enfermés dans
des chambres-chiottes sont même prêts à vous jurer qu’ils
possèdent un libre arbitre sans aucune démonstration, alors qu’avec
un peu d’intelligence (qu’ils n’ont pas) ils pourraient
invoquer le fait que le libre arbitre n’a jamais été démontré
par la science officielle pour bénéficier du doute.
Ils le réclament à
grand cri ce libre arbitre, ça leur permet de croire à leur propre
intelligence. Ça, c’est de la belle manœuvre! Il faut dire que la
société a tout fait pour qu’ils confondent libre arbitre et
liberté, ce qui est loin d’être la même chose.
Les parents ne sont pas
responsabilisés de la mauvaise éducation qu’ils donnent à leur
enfant, et la société qui a encore une plus grande part dans
l’éducation des enfants est tout à fait contente de cette
invention du libre arbitre.
Le seul coupable est
celui qui n’a pas demandé à naitre et n’a pas accepté les
règles sociales qu’on lui a intimé d’accepter sans même une
signature de sa part, ce qui est contraire à la loi elle-même qui
dit que ce qui est obtenu par la contrainte est illégitime.
Toute personne qui ne se
sent pas bien dans la société doit pouvoir porter plainte contre
ses parents et la société pour mise au monde sans intention de
garantir son bienêtre ainsi que sa santé, et pour mise en danger de
la vie d’autrui.
Quant au criminel, il
peut porter plainte pour avoir reçu une mauvaise éducation l’ayant
conduit à transgresser la loi. Le libre arbitre est une croyance
religieuse ; associée au paradis et à l’immortalité de
l’âme elle permet aux humains d’enfanter et de se débarrasser
de la culpabilité de cet enfantement…
L’évolution nous a
fabriqué une grosse cervelle, mais comme cette machine à analyser
est trop performante, il a fallu la contraindre à ne pas cogiter
certaines notions par la croyance. Chapeau l’évolution !
Le principe de Justice
veut qu’avant d’impliquer quelqu’un dans une action quelconque,
on lui demande son avis, son autorisation : « Veux-tu
participer à ceci ou cela ? » J’en conclus qu’aucun
dieu créateur, qu’aucun parent, ne peut être juste puisque la
création d’une existence et son implication dans la vie se font
toujours sans le consentement de l’être créé.
Voudriez-vous me faire
croire que le type qui nait handicapé physique ou mental, celui qui
nait de parents tarés, d’esprits frappeurs, celui qui nait dans
une région en guerre, dans un lieu où l’on crève de faim,
voudriez-vous me faire
croire que celui qui nait dans des conditions abjectes n’a rien à
réclamer au monde humain qui a laissé créer son existence,
création inutile pour lui qui n’existait pas et qui n’a donc pas
demandé à exister et encore moins dans des conditions
inqualifiables, alors que l’humanité prétend aux Droits de
l’homme, à la morale et à l’éthique, à la Justice, à
l’égalité dès la naissance, entre tous ?
Savez-vous que les
enfants maltraités prénatalement (dans le ventre maternel) ont le
droit de porter plainte contre leurs ignobles parents ?
Êtes-vous certaine, Madame Nulle, que votre enfant va voir le jour
sain de corps et d’esprit, et que votre laboratoire de Frankenstein
aveugle, votre utérus, ne va pas fabriquer un monstre qui vous en
voudra votre vie durant ?
Madame ! c’est
vous qui avez agencé à l’aveugle les mille milliards de cellules
qui constituent votre enfant.
La peine de mort sert à
affirmer, pour un gouvernement, au peuple et aux autres pays, qu’il
est le maitre absolu chez lui. Il a le droit de vie et de mort
sur chacun des sujets qu’il gère.
La peine de mort, c’est
l’éducation des foules par un crime social. Quant au mort, il
n’apprend rien du tout. Et s’il y avait un paradis, donc un
enfer, il subirait une double peine terrestre et « infernale ».
La peine de mort n’est
pas injuste, elle est absurde, stupide.
Il ne faut pas seulement
être contre la peine de mort, il faut être contre la notion de
peine tout court.
Quand un pays possède
dans ses lois la peine de mort, il ne respecte pas ces propres
citoyens, et en fait il ne se respecte pas lui-même et sa propre
culture, puisque ses propres citoyens sont issus de sa propre
culture. Une société met au monde et éduque ses propres associés.
Les tuer, c’est admettre que son propre système culturel est
foireux. C’est un aveu d’impuissance.
La peine de mort n’est
pas une punition, car le bon sens d’une punition est un
apprentissage. La peine de mort n’est qu’une torture morale,
avant l’exécution, pour le « puni », et une punition
définitive pour la famille. Bien fait pour eux puisqu’ils ont
éduqué le criminel.
Mais la société oublie
la très grande part qu’elle à prise dans cette éducation et la
conduite du criminel qui en a résulté. Vous les victimes !
portez donc plainte contre la société pour manquement éducatif,
mise en danger de la vie d’autrui, etc.
Une fois que la « peine »
est exécutée, le condamné n’existe plus et ne subit donc plus
aucune peine, au contraire de sa famille qui vit en pensant au frère,
à la sœur, au fils à la fille, au père, à la mère, etc., qui a
été exécuté, ce qui reste très longtemps une tâche familiale.
La peine de mort est en fait une tare sociale, défaut de mise au
monde, défaut d’éducation, défaut de compréhension, etc.
La peine de mort est une
mort subite, comme celle du nourrisson. C’est aussi, parait-il, une
peine exemplaire, qui a donc pour but de menacer l’ensemble des
associés (de la société) qu’on nomme le peuple. Drôle de
société, où l’on menace ses associés s’ils ne se conduisent
pas bien. Quelle ambiance sociale !
C’est du chantage
constant, comme d’ailleurs beaucoup de lois. La Loi est notre « Big
Sister »… Y a-t-il des récompenses basées sur des émotions
aussi fortes ? Non, aucune.
Dans une démocratie, la
peine de mort n’est pas seulement un crime gouvernemental. Quand on
est pour la peine de mort, on est soi-même un tueur.
On est le bourreau, celui
qui tient la hache, celui qui déclenche la lame de la guillotine,
celui qui appuie sur la gâchette, celui qui injecte le poison, celui
qui fait griller le cerveau du condamné à la chaise électrique. Le
crime n’est pas divisé par la quantité de population du pays,
chacun en prenant une part, non, il est multiplié.
Le bourreau est votre
représentant, combien d’hommes avez-vous tués par son entremise ?
Ce crime social est un crime commun. Par le fait que nous
n’empêchions pas ce crime social, nous sommes complices. Nous
sommes complices par laxisme. La société veut sans doute nous
imposer cette complicité.
C’est dans nos pays une
complicité démocratique. La société nous met un pistolet dans la
main et nous impose de tuer pour nous imposer la complicité, donc le
silence. Refusez la complicité ! Voter non à la peine de mort
partout dans le monde est un devoir humain.
Quand vous créez
l’existence d’une personne sensible et mortelle, elle va souffrir
et mourir au minimum. Cette personne doit-elle utiliser la loi du
talion contre vous ? Pourquoi utilisez-vous la loi du talion
contre elle quand elle fait un acte qui ne vous convient pas, un acte
antisocial, que vous appelez crime, par habitude culturelle, et par
confort mental ?
Est-il moral de ne pas
dire une vérité, même si elle est dérangeante ? Est-il juste
d’exercer la Justice sans savoir ce qu’est un être humain ?
S’il n’y avait qu’une
seule question, que toutes celles, qui désirent fabriquer une
nouvelle existence, devaient se poser, elle devrait être celle-ci :
« Maintenant que
j’ai fabriqué un être souffrant, comment défaire la
souffrance ? »
Faim
E. Berlherm (Déc.
2015)
(Pour
ceux qui préfèrerait écouter ma douce voix ou parce que Maman/Papa
volontairement et Dame Nature involontairement leur ont imposé une
vue déficiente vous pouvez écouter ce texte sur YouTube, ici
https://youtu.be/3ceeA_Lm2F0)
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