(J'ai supprimé les
images de la vidéo dans cet article, si vous êtes intéressé,
voyez le lien à la fin.)
Les quelques images qui
suivent sont une « ode » à la beauté de la nature (les
lettres O.D.E. sont également les initiales de « Obligation
D'Exister »).
Une fois qu'ils existent,
la plupart des gens se laissent berner par la culture qui les enjôle
avec de soi-disant « beautés de l'existence ».
Cela permet sans doute de
mieux accepter cette vie que l'on vous a imposé.
Mais je pense que l'on
peut profiter de cette existence, cadeau empoisonné, impossible à
refuser, sans se laisser manipuler par des croyances populaires
stupides.
Le but de cette mise en
garde n'est pas de vous dégouter de la vie, au contraire elle
pourrait vous permettre d'en profiter à fond.
Cet avertissement devrait
vous permettre d'éviter par votre comportement inconsciemment et
paradoxalement égoïste de contraindre une personne à exister
uniquement pour votre service et le service social,
et cela tout en lui
faisant risquer une vie de malêtre, de misère, malsaine ou
belliqueuse, en commençant par un lourd handicap de naissance pour
finir absurdement par mourir après cette vie de malheur, et tout ça
pour rien en ce qui le concerne,
mais sans aucun bénéfice
pour vous, puisque vous allez être prisonnier de ce boulet que vous
devrez tenter d'insérer dans la société, pendant au minimum 18
ans.
Que de beau et jeune
temps perdu pour le malheur d'autrui !
Il n'y a pas de dieu(x)
et la démonstration en est faite. Toute religion est un conte de
mauvaises fées. Quant à la croyance, elle est une fonction mentale
qui est un virus dans votre logiciel mental.
Cette croyance, c'est
l'incommensurable orgueilleuse prétention en l'infaillibilité de
votre propre décision concernant l'existence de vos dieux sans
preuve et la validité de votre religion.
Vous êtes pardonné, car
le libre arbitre n'existe pas, la démonstration en est faite
également, mais n'en abusez pas !
Quelque chose ne peut
être qualifié que par rapport à autre chose, le beau par rapport
au laid, le bien par rapport au mal, la perfection par rapport à
l’imperfection, etc..
Ce qui signifie qu’un
dieu ne peut être parfait lui-même que par rapport à une
imperfection qui ne peut qu’exister et donc détruire
l’imperfection de son absoluité. Un dieu ne peut donc être
parfait.
Votre dieu n'est parfait
que parce qu'il a créé l'imperfection, ce qui le rend donc
imparfait puisqu'il est Tout, ce qui annule sa divinité. (Il faut
admettre que c'est amusant la religion !)
Si vous aimez tant la
beauté que ça madame, monsieur, société, attendez donc d'être au
paradis pour fabriquer une personne, qui ne vous en voudra pas, je
vous le souhaite malgré tout, d'être belle et éternelle dans un
beau jardin.
Vivre une vie
intelligente n'est pas être prisonnier de plusieurs autres.
Chercher la beauté de la
Vie n'est pas créer la laideur des innombrables handicaps
individuels et des éternels conflits humains.
Chaque être vivant est,
comme nous-mêmes les humains, dans l'obligation d'exister, et doit
supporter tous ses mécanismes stupides de violence, de souffrance,
et de mort, de lutte de vie contre vie,
pour nourrir finalement
d'autres vies en compost, sans aucun but, que le stupide et absurde
mécanisme de l'univers. Trouvez-vous ce principe beau ?
Il est très paradoxal
d’aimer la beauté, puisque la beauté est une production de notre
cerveau.
En fait ce qu’on aime,
c’est de produire la beauté dans notre cerveau, en cherchant des
lieux, par exemple des paysages, ou des objets qui produisent une
impression de beauté.
Aimer la beauté, c’est
aimer produire l’excitation de beauté dans notre pensée.
La beauté est un
phénomène qui résulte d'une similitude des mécanismes humains.
Elle est à la fois subjective, relative et sociale.
La beauté d'un objet est
affectée simultanément à sa perception. Cela tient à nos
fonctions mentales.
Le gout ou le sens du
beau est un objet mental acquis.
La beauté est une
fonction mentale acquise comme le sens spatial. Elle est acquise à
partir de très nombreuses corrélations.
La beauté est donc
individuelle et totalement subjective, mais comme elle est commune à
toute l'humanité, elle est nécessairement engendrée par des bases
communes.
Les humains préfèrent
pour leur malheur le bien pour eux au beau général.
Il y a plus important que
de posséder le beau, c'est de pouvoir créer le beau.
Je ne sais pas si un
homme en train de se noyer trouve l'océan beau. Je ne pense pas
qu'il ait le temps d'y penser. Ce qui implique que la beauté ne
dépend pas que de l'objet, mais du contexte de sa perception.
Aimer la beauté de ce
que l’on voit, la beauté de la Vie, n’est pas aimer la Vie.
La Vie n’est pas
aimable, elle est une obligation qu'ils (parents et société) nous
font d'accepter notre corps, nos parents, la société, la culture,
le milieu. La beauté est un point de vue personnel.
Il n'y a ni couleur ni
espace hors de notre tête, tout ce que nous percevons du monde est
une fabrication de notre système nerveux, aussi bien les sons, que
les couleurs, et même la sensation spatiale, ce qui est pour cette
dernière le plus difficile, sans doute, à imaginer donc à
comprendre.
Ce que nous trouvons
beau, nous le trouvons ainsi par une sorte de narcissisme mental, qui
signifie que nous aimons ce que produisent nos activités mentales,
et c'est stupide.
Si l'être humain tue la
beauté animale, le tigre, le cerf, le vison, l'oiseau, etc., je ne
vois pas pourquoi un être aussi laid qu'un humain ne pourrait pas
servir de cible aux tueurs.
J'ai plus d'empathie avec
un bel animal qu'avec un humain, copie difforme d'un asticot qui se
vêt pour maquiller sa laideur.
Imaginez qu’avant votre
conception, en tant qu’âme, vous entendiez la discussion de vos
parents sur l’envie qu’ils ont de vous mettre au monde.
En fait, vous les
entendez discuter de la qualité de l’enveloppe charnelle qu’ils
vont vous donner.
Vos parents ne savent
absolument pas quel corps va vous échoir. Ils espèrent que vous
allez être très beau(belle) et très intelligent(e), mais ils
savent aussi parfaitement quels risques court votre future enveloppe
charnelle.
Ils n’osent imaginer le
pire : tétraplégie, hydrocéphale, phocomèle, mongolien,
élephantman, inversion de sexe, etc., mais ils ont tellement envie
de pouponner, d’être des parents modèles…
Vous entendez ce discours
avec horreur. Quoi ! Ils ne maitrisent rien et ils veulent
m’engendrer. Au secours ! Je risque l’enfer ! Ne me
mettez pas au monde ! Je suis bien comme je suis. Je ne veux pas
exister.
Ce qui compte pour la
nature, la vie, l’évolution, c’est la reproduction, ce n’est
certainement pas la bonté, la gentillesse, le bienêtre, et encore
moins le bonheur et pas plus la beauté.
La Nature s’en fout. La
Nature n’en a cure de votre hure, de votre belle ou sale gueule.
Votre mère vous pond et tant mieux pour la Nature.
Gaïa n’a aucun
principe moral. Elle désire de la chair vivante et pullulante sur
son dos pustuleux.
Gaïa aime le pou humain,
car il est cancérigène en soi, mais aussi pyrogène et
désertifiant.
Si tu veux un beau
jardin, un beau berceau où couver ton petit, fais-le toi-même dis
Gaïa à Maman, moi je m’en tape, seul compte le nombre et la bonne
santé du pouvoir reproducteur que je vous ai donné, vous n'êtes
qu'un véhicule pour mes œufs.
La Vie est une
monstruosité commise par l’univers qui n’a rien à faire de la
misère, de la souffrance, de la mort.
La Vie ne fonctionne que
par réplication et ne se soucie absolument pas de la qualité et des
bienfaits de votre vie, bienfaits ou plutôt méfaits que vous en
tirerez à vivre pour le service d’autrui.
L’univers est une
mécanique, la Vie est une mécanique, les humains sont des
mécanismes initiés par l’univers. La Vie est un combat violent de
la Vie contre la Vie.
La vie n’est une
sinécure pour personne. Créer une vie pour un être conscient de
tout ça est une monstruosité sadique.
Créer une vie est une
monstruosité d’esclavagiste qui a besoin pour l’accompagner dans
la vie d’un petit souffre-douleur, qui a besoin d’un bâton de
vieillesse, qui a besoin pour la société de chair à boulot, de
chair à impôt, et de chair à canon.
Quand vous créez une
existence, c’est pour vous servir, car ce n’est certainement pas
la non-existence qui a demandé à exister.
Mais comme l’utérus
maternel est le laboratoire de Frankenstein, eh bien, n’importe
quel handicapé monstrueux peut en sortir.
Créer un être humain,
c’est jouer à la roulette russe sur sa tête, et sur celles de
millions d'autres quand il s'agit d'un Hitler.
Fabriquer une personne,
c’est jouer à la loterie sur un être qui n’a rien demandé
alors que pour vous-même le procréateur vous demandez le beau, le
bien, le bon, ce que vous ne pouvez, admettez le, avec certitude
accorder à votre propre progéniture.
À fabriquer cette
existence sans aucune maitrise, vous êtes soit idiot, soit sadique,
soit négrier, probablement tout ça à la fois.
La ville n'est pas en
beauté, mais parfois un peu de beauté se cache en ville.
La beauté dans notre
environnement urbain est ponctuelle, il faut concentrer son regard
pour la percevoir au milieu de la laideur, comme un tableau d'artiste
sur un mur de béton, ou comme une fleur dans un pot dans un salon.
Si vous dites que la tour
Eiffel est belle alors vous devez dire que tous les pylônes d'œdéeff
sont beaux. La tour Eiffel est le symbole d'œdéeff, elle est la
mère de tous pylônes métalliques.
Il est temps de trouver
une énergie plus esthétique que les éoliennes, car un champ
d’éoliennes est vraiment d’une grande laideur. Encore un
problème de la surpopulation…
Admirez ce beau champ de
tours Eiffel !
De ces cinq grands
coupables, je ne sais lequel est le plus ignoble: la femme qui est la
créatrice-dictatrice suprême,
l’homme qui est
nécessaire comme jouet et acteur dans tous les domaines de la
filouterie humaine,
l’agriculteur
indispensable à la vie et qui sabote la planète,
le financier, car tout
notre jeu culturel est traduit sous forme argentifère,
et le dirigeant politique
qui gère ce beau monde à le poubelliser, alors que son devoir
théorique est d’en faire un paradis.
Quant à moi, je les mets
tous dans le même sac, avec un malus malgré tout pour le dirigeant
dont le rôle est de contrôler le foutoir, mais qui ne fait rien en
toute connaissance de cause depuis plus de cinq-mille ans.
Votez svp pour celui qui
a votre faveur, n’oubliez pas la première, elle est sans scrupule,
doucereuse, séductrice, et maintenant elle veut diriger le monde.
Un dictateur basique ne
peut être un bon gouvernant.
Être très belle, jolie
Madame, ça n’est pas facile, cela demande que des millions
d’humains s’accordent pour le penser et le dire.
Les femmes se sentent
belles quand les hommes les regardent. Les fleurs sont belles et ne
sauront jamais pourquoi… Sont-elles du même genre de beauté?
Il semblerait, selon les
préhistoriens, que soixante-quinze pour cent des peintres de la
préhistoire étaient des femmes... Ainsi débuta le maquillage.
Regardez-vous dans une
glace. Vous trouvez-vous si belle que vous deviez créer une autre
existence telle que la vôtre ?
Contemplez ce que vous
avez réalisé. Vous parait-il nécessaire de fabriquer un autre
destructeur du monde tel que vous ?
Le principe des humains
(des femmes), quand ils font un enfant est celui-ci : j’espère
que mon enfant sera beau, fort et intelligent, mais dans le cas
contraire je m’en fous, de toute façon c’est moi qui
l’éduquerais, le façonnerais, l'imprègnerais de ma culture,
et je ferais tout pour
qu’il ne se pose pas la question de la création de son existence
débile et mortelle, par l’amour ou la crainte s’il le faut.
De toute façon une fois
en vie, il ne peut que continuer de vivre, c’est ainsi que ça
s’est toujours fait.
Loi du talion : si
un enfant nait laid (se perçoit laid) a-t-il le droit d'enlaidir ses
deux parents ?
À quoi sert de faire des
OGM, à quoi sert de faire de l’agriculture et de l’élevage
intensifs, alors qu’il suffit de ne pas contraindre des personnes à
exister pour avoir à bouffer la merde qu’on leur fabrique parce
qu’ils sont trop nombreux, alors qu’ils n’ont pas demandé à
exister et encore moins à exister pour être un esclave mal nourri ?
Comment se fait-il que
les plus de six-cent-mille papas et mamans du jour qui se préparent
à copuler pour faire un enfant pour dans neuf mois (plus de
trois-cent-cinquante-mille naissances en 24 heures), et donc le
contraindre à exister dans la poubelle Terre,
comment se fait-il que
ses chers parents ne se posent pas la question de la pertinence de
rajouter une victime esclave supplémentaire parmi les plus de sept
milliards qui se foutent sur la gueule pour savoir comment ils vont
se nourrir demain eux et leurs descendants ?
La priorité ne
serait-elle pas de résoudre cette question de la contrainte
d’existence dans un monde de paix, doux, beau, et aimable comme le
nôtre ?
Nous ne devons rien à
ceux qui nous ont imposé d’exister pour être difforme, souffrir,
et mourir, et pas plus à leurs complices, leurs associés.
Ce n’est pas au
créateur de juger de la qualité ni de la beauté de l’œuvre
qu’il a créée.
Ce n'est pas au créateur
d'affirmer péremptoirement que son paradis en est un.
La beauté attire, cette
attraction est un tropisme. Il provoque une attitude de notre part.
Il nous contraint à une pose devant l’objet (mental !) que
l’on contemple.
La beauté est donc une
focalisation du corps vers l‘objet. Cela fonctionne comme la prise
de conscience. L’objet est mieux mémorisé, donc les circuits
nerveux sont renforcés.
Un objet nous parait beau
parce qu’il contient en lui-même formes, couleurs, dimensions,
proportions, etc., qui suscitent en nous une réaction
« émotionnelle » qui nous oblige à la focalisation.
La beauté est un
attracteur, elle facilite la mémorisation. Mais tous les attracteurs
ne sont pas beaux. Le danger est attracteur, comme la laideur.
On a tous un sens
esthétique, c’est une fonction mentale commune, mais qui ne
s’applique pas sur les mêmes objets.
Quelle relation y a-t-il
entre beauté et nostalgie?
Un oiseau Lyre est un
très bel oiseau, nul ne le conteste, sauf le ver qui est dans le bec
de ce monstre répugnant. Il suffit de nous imaginer à la taille de
cet asticot pour changer notre vision de la beauté.
Quelque chose peut
paraitre beau à certains alors que cette chose semble laide à
d’autres, par exemple une araignée.
Est-ce que ce n’est pas
le fait que la crainte a été supprimée pour les premières
personnes, qu’ils peuvent juger plus rationnellement de la beauté
de l’araignée?
La beauté est
culturelle, mais dans un système culturel le consensus n’est pas
absolu. Par exemple tout le monde n’admet pas la beauté d’un
engin mécanique, voiture, avion, train, architecture, etc..
La soi-disant beauté de
notre espèce, ou celle de notre intelligence voire même de notre
culture, ou simplement l'existence de la conscience, ne peut être un
justificatif à sa mainmise sur la Nature, car aucun de ces termes
n'a été défini dans l'absolu.
Rien ne justifie que
notre pérennité soit nécessaire à quoi ou qui que ce soit, et pas
plus à nous-mêmes.
La recherche de la
beauté, ou du bonheur, sert à produire l'optimisme dans le mental
des humains, cela n'a pour but que de les manipuler, et l'on ne
manipule que les idiots.
L'humanité, qui se
prétend intelligente, a-t-elle donc tant besoin d'idiots ?
Pour étudier
correctement l'art, le beau, il faut savoir comment fonctionne la
pensée, sinon il y a de fortes chances de dire des âneries.
Pour qu’il y ait de la
beauté, il faut de la laideur, pour qu’il y ait du bonheur il faut
du malheur.
Pour fabriquer laideur et
malheur, les humains s'y connaissent.
S’il n’y avait qu’une
seule question, que toutes celles, qui désirent fabriquer une
nouvelle existence, devaient se poser, elle devrait être celle-ci :
« Maintenant que
j’ai fabriqué un être souffrant, comment défaire la
souffrance ? »
Faim
E. Berlherm (Févr.
2016)
(Pour
ceux qui préfèrerait écouter ma douce voix ou parce que Maman/Papa
volontairement et Dame Nature involontairement leur ont imposé une
vue déficiente vous pouvez écouter ce texte sur YouTube, ici
https://youtu.be/5t6_lZi7GtA)
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