Ce
n’est pas parce que les femmes sont mes égales qu’elles doivent
avoir les mêmes droits que moi, ce n’est pas une question
d’égalité physique ou intellectuelle.
Elles
doivent avoir ces droits parce que je suis un être rationaliste, et
donc empathique, que je reconnais que les êtres vivants, malgré et
à cause de leur obligation d’exister, doivent jouir du monde dans
le bienêtre, jouir de leur sensibilité et de leur intelligence,
quelle que soit leur valeur, et me laisser en faire autant.
Pourquoi
et comment les femmes occupent-elles une position subordonnée dans
la société ? La subordination du plus faible se produit dans
tout l’univers animal. La « complémentarité naturelle »
des sexes pour la reproduction est une vision animale du monde
vivant.
L’être
humain possède un petit plus intellectuel qui lui permet de
contrôler ses actions, et même ses instincts les plus profonds, que
ce soit la femme ou l’homme. La société le reconnait par la
notion de responsabilité de chacun et chacune de façon égale
devant la Loi.
Ce
qui implique que ce plus que nous possédons sur les animaux dont
nous sommes issus et qui nous permet de contrôler cette animalité
est suffisant pour dire que femmes et hommes sont égaux dans tous
les domaines du droit, ce droit que nous avons inventé et qui est
donc hors animalité.
Si
nous avons recours au droit que ce soit pour un homme ou une femme,
alors nous sommes égaux hors animalité, hors notre morphologie et
notre anatomie, donc hors nos sexes. Personnellement je suis un
« sapiens analensis », et non un simple « sapiens
sapiens », comment donc votre Loi va-t-elle me traiter ?
Le
cerveau humain généralise, et il peut ainsi classer hommes et
femmes dans deux groupes séparés, rendant la cible féminine ou
masculine plus facile à désigner, et nous en avons rajouté en
accentuant la légère différence morphologique par les vêtements.
La
domination masculine s’est probablement mise en place selon le même
principe de domination d’une main sur une autre, la droite sur la
gauche, la différence est faible ou nulle à la base, mais une
simple prise d’habitude rend l’autre main moins experte donc de
moins en moins utilisée et de moins en moins experte.
Les
femmes ont été dominées progressivement partout dans le monde
selon le même principe. La relative faiblesse du corps féminin
pendant la grossesse un « court » laps de temps suffit à
engendrer le décalage et les coutumes de masculinisme qui se sont
installées progressivement.
Aujourd’hui
ce n’est plus nécessaire, d’autant que ce sont de plus en plus
des femmes qui s’occupent des femmes (et des hommes) sans que les
hommes aient à intervenir, et cela dans tous les domaines. Les
femmes sont compétentes en tout dans nos sociétés, même en tant
que soldat.
Et
en tant que politicienne peut-être faut-il rappeler la
super-compétence de la Reine-impératrice Victoria d’Angleterre.
Les
humains sont tellement préoccupés de leurs luttes de classes, de
genres, d’idéologies, de croyances, qu’ils en oublient
l’essentiel, qui est l’impossibilité du libre arbitre et
l’obligation d’exister. À quoi sert, Madame, de fabriquer une
existence pour cette existence que vous fabriquez, avant qu’elle
existe bien sûr ? Ça ne lui sert à rien, mais à vous, quelle
utilité ?
Si
cela a une utilité pour vous, c’est donc un serviteur que vous
fabriquez, un esclave ou un bébécament pour votre psychopathologie
dans ce monde effrayant et nocif ! La vie est un cercle vicieux
absurde et morbide que notre compréhension peut rompre.
On
ne peut pas baser des règles de Droits humains sur des principes
naturels puisque la Nature ne s’intéresse absolument pas au sort
des vivants. La Nature n’a pas de Loi, la Nature n’a aucune
morale aucune éthique. Elle n’a que des mécanismes.
La
Nature fait dans la « pérennité de réplication
approximative » par ses mécanismes, et nous humains existons
selon ce principe de pérennité, mais provisoirement, car l’humain
se maintiendra comme pseudo-espèce très provisoirement.
Le
machisme et le féminisme sont des idéologies résultantes de
comportements anciens, provenant d’une très lointaine évolution
animale. La suppression de ces idéologies est de la responsabilité
de tous. Contrôler notre animalité, pour sortir de toutes nos
idéologies, sera du ressort de chacun.
L’état
de la culture actuelle doit s’analyser à partir de l’évolution
des « espèces » dans le même processus de continuité
culturelle qui s’est engagée dès que les systèmes nerveux des
animaux dont nous sommes issus ont été suffisants pour servir à
autre chose que de s’occuper uniquement de la survie de l’animal.
Cette
mémoire supplémentaire permet d’enregistrer le comportement des
compagnons, la perpétuation des améliorations se faisant uniquement
par la continuité des existences des générations successives.
Et
en ce qui nous concerne, nous humains, cette mémoire nous permet de
stocker une foultitude de données sur le monde et de réaliser une
quantité d’actions qui n’ont plus grand-chose à voir avec la
simple survie, quoique cela soit nécessairement lié à cette
survie, d’où le machisme de la culture humaine partout sur la
planète.
Il
semble que nous soyons, grâce à la prise de conscience féministe à
un tournant de la civilisation humaine.
Pour
que le féminisme s’installe, il faut que des femmes
(quelques-unes) aient la sensation d’appartenir à une communauté
de femmes, donc différentes et opposées à une communauté
d’hommes,
et
la sensation que cette communauté de femmes soit brimée ou
infériorisée par celle des hommes, mais aussi une troisième
sensation qui est que les deux communautés appartiennent à un même
ensemble, l’humanité.
La
loi qui responsabilise les femmes de la même façon que les hommes
en ce qui concerne délits et crimes, et qui hiérarchise les
responsabilités selon l’âge et les circonstances, reconnait ce
principe.
Il
reste à la Justice de reconnaitre l’impossibilité du libre
arbitre et d’admettre que nous sommes, tous les êtres vivants,
contraints d’exister, et que cette contrainte d’existence va même
jusqu’à nous imposer des handicaps de naissance qui doivent être
dédommagés quand ils ne peuvent être réparés.
Il
y a trois types de machismes principaux, le machisme intellectuel, le
machisme économique et le machisme politique. Les trois types de
machisme existent encore sur la planète, mais les plus difficiles à
démonter sont le machisme économique et le politique.
Il
est aisé de comprendre pourquoi les capacités intellectuelles des
femmes sont acceptées puisque cela sert la société directement,
alors que tout prétexte est évidemment bon pour n’importe quel
patron de ne pas payer les personnes selon leur capacité,
quant
au machisme politique, il s’agit uniquement d’un sexisme stupide
et rétrograde qui a encore moins de raison d’être qu’ailleurs
puisque pour le bien du pays toutes les intelligences doivent être
utilisées selon leur compétence, le politicien honnête devrait le
comprendre et l’accepter.
Le
machisme est issu de la domination animale des mâles sur les
femelles, avec l’assentiment de ces dernières qui avaient besoin
de protection dans une nature dangereuse quand elles étaient
enceintes (probablement tous les ans).
Il
était avantageux alors de laisser croire aux mâles qu’ils étaient
les propriétaires responsables de la progéniture (d’où le terme
de semence) alors qu’en toute apparence le travail était exécuté
par les femmes. Le machisme est une rationalisation de ce
comportement animal.
Le
machisme n’a plus lieu d’être aujourd’hui d’autant plus que
si les femmes doivent être protégées ce n’est plus de la Nature,
mais des hommes, ces mâles imbus d’eux-mêmes par la culture (de
mâle) dont les femmes sont pourtant elles-mêmes les grandes
dispensatrices.
Car
vous-mêmes mesdames trimbalaient dans votre cerveau une culture
masculinisée depuis des milliers d’années ! À vous de faire
le tri si vous en voyait une nécessité, car le mélange des
cultures humaines de nations et de genres va s’opérer qu’on le
veuille ou non par la mondialisation.
Les
hommes, du moins les plus instruits, ont compris qu’ils n’étaient
pas les véritables semeurs de vie, mais peut-être tiennent-ils à
conserver un peu de pouvoir !
Le
mariage est culturellement un acte religieux où l’homme prend
possession d’une femme devant la société. Le mariage civil qui ne
devrait être qu’un contrat entre deux personnes, égales devant
les Droits de l’homme et la Loi, contient de façon sous-jacente
cet héritage culturel.
Quand
deux personnes veulent établir un contrat, elles le font
ordinairement devant notaire, mais pas devant le maire. Le mariage
est encore considéré de manière particulière, car il est
nécessaire de traiter les autres personnes que sont les enfants (à
venir ou présent) comme des objets qui n’ont aucun mot à dire
dans la fabrication de leur existence,
quel
que soit le résultat de cette fabrication, quels que soient les
qualités ou défauts des parents eux-mêmes qui se considèrent
narcissiquement, quels que soient le milieu et le lieu où va vivre
cette progéniture, quelles que soient la société et la culture.
Les
enfants ne sont pas des personnes légales. Ils n’ont droit à
aucun contrat particulier individuel, pourtant ils sont, chacun, des
personnes introduites sous contraintes dans une société qu’ils
n’ont pas désirée.
Le
mariage civil est un contrat de gros entre deux adultes. Il n’est
pas individuel, puisque les enfants ne sont pas nommés dans ce
contrat (et n’ont pas signé ni ne signeront jamais), et de ce fait
il n’est pas juste, il est hors-la-loi et surtout hors les Droits
de l’homme.
Chaque
femme et chaque homme sont des êtres sensibles conscients et
intelligents, chacun décide de la vie que d’autres lui ont
imposée. Cette phrase parait sensée et conforme à ce que réclame
le féminisme, et je suis parfaitement en accord avec elle, et si je
la propose en examen à une femme, je suppose qu’elle sera
d’accord.
Mais
dans ce cas comment voit-elle le fait d’imposer l’existence à
quelque chose qui deviendra une personne comme elle, et une fois sur
deux à une autre femme, qui subira les conséquences de sa féminité
dans un monde malsain pour tous et encore plus pour elle ?
Pouvez-vous
vous plaindre d’être femme, si vous vous permettez de fabriquer un
enfant qui a le risque de naitre femme alors que vous n’appréciez
pas ce monde sexiste ? Pourquoi ne pas débarrasser le monde du
sexisme avant d’y installer une personne.
La
manière d’avorter des hommes est simple, c’est de ne pas
reconnaitre l’enfant. Et puisque les hommes avortent, les femmes
doivent avoir ce même droit qui n’est pas simplement un
accouchement sous X, mais un véritable avortement. Et réciproquement
si les femmes peuvent avorter les hommes doivent le pouvoir
également.
L’acceptation
sociale de l’avortement, c’est la reconnaissance de l’erreur
sexuelle. Les humains ont le droit de se tromper même quand ils font
un acte qui ressemble à de la procréation, mais qui n’en est pas
un.
Le
droit à l’avortement reconnait qu’une femme et un homme peuvent
ne pas vouloir procréer tout en pratiquant l’acte sexuel, et qu’un
oubli de protection ne contraint pas l’un et/ou l’autre à faire
un enfant. L’homme comme la femme peut avorter.
En
quoi l’avortement des femmes regarde-t-il les hommes, les bonnes
sœurs, les femmes ménopausées, et toutes ces personnes qui
n’accoucheront jamais ? Les hommes n’ont pas à légiférer
sur l’avortement des femmes, ils peuvent éventuellement légiférer
sur l’avortement des hommes.
Si
les hommes se mêlent de gérer l’avortement ou pas des femmes cela
signifie qu’il s’agit d’une question sociale, et que le corps
des femmes ne leur appartient pas, et dans ce cas pourquoi celui des
hommes leur appartiendrait-il ?
Les
femmes ouvrent leurs jambes et accueillent un homme (à la fois) si
elles le désirent, elles ont recours à la banque de sperme si elles
le désirent, et avortent si elles le désirent. Elles sont donc
totalement responsables elles et uniquement elles de la fabrication
des existences, et de mon existence en particulier.
Les
femmes sont maitresses de leur corps, donc de tout ce qui le pénètre,
qui n’est pas du viol, et tout ce qui en sort, éventuellement un
bébé, appelé aussi autre personne. En ce sens elles accordent à
l’homme un rôle très secondaire, d’où la peur des mâles et un
éventuel renouveau du machisme religieux.
Elles
prennent ainsi à leur charge toutes les responsabilités de
l’existence de l’humanité, et bien entendu tous les méfaits
humains sur la planète, surpopulation, guerre perpétuelle de
l’humanité contre elle-même, misère, famine, pollution, etc.
Il
faut en priorité penser aux handicapés de naissance que vous
mesdames fabriquez (avec la complicité des mâles) qui jusqu’à
présent en prenaient l’entière responsabilité, maintenant cette
responsabilité vous revient totalement. Faire un bébé est un
crime.
Les
hommes vont avoir beau jeu d’attaquer légalement les femmes quand
elles auront pris la responsabilité totale de leur corps, de leur
personne, devant la Loi, puisque chaque homme a été contraint
d’exister par une femme responsable de cet acte de dictature
absolue.
Les
banques de sperme annulent la paternité génétique, puisque le
géniteur peut être anonyme, seule la paternité de contrat est donc
valable.
Les
femmes ne veulent pas être violées, mais elles contraignent les
personnes à exister, et à exister dans des conditions très
risquées, sans que ça leur pose le moindre problème…
Aujourd’hui
(comme demain), plus de 800 femmes sont condamnées à mourir pour
avoir fabriqué une existence par simple incompétence.
Plus
de 300 000 femmes meurent chaque année en mettant un enfant au
monde. Si c’est gagner le Paradis qui vous intéresse, alors jouez
Madame, il y a beaucoup plus de probabilité de gagner à ce jeu
morbide de la Vie qu’au loto.
Pour
éviter les problèmes de garde d’enfants après divorce, le couple
devrait signer un contrat avant mariage à propos de cette garde
éventuelle. C’est-à-dire qu’ils devraient savoir avant de se
marier pourquoi ils vont concevoir un enfant.
Pendant
des millénaires, les femmes ont sélectionné les hommes pour leur
virilité et éduqué leurs garçons pour qu’ils soient agressifs
afin de les envoyer combattre pour leur défense. Aujourd’hui,
elles les culpabilisent d’être agressif envers l’autre femme,
qui est parfois elle.
Une
femme vit 8 à 10 ans de plus qu’un homme en moyenne, mais ça ne
parait pas une raison suffisante aux mâles humains pour tenter de
changer de sexe.
Si
les femmes avaient la moindre intelligence, elles demanderaient
beaucoup d’argent à la société pour mettre un enfant au monde.
Je vous assure que si l’enfant valait cher à la société,
l’éducation serait parfaite et il n’y aurait jamais besoin de
prison pour corriger les fautes d’éducation, car il n’y en
aurait pas.
Et
les associés que nous sommes tous seraient cajolés tout au long de
leur vie par les gouvernants. Est-ce que ce n’est pas votre devoir,
pour le bien de votre futur enfant de passer un contrat avec la
société : « Si tu veux mon enfant, si tu veux un
associé, je veux que tu garantisses sa vie, son bienêtre. »
Et
si la société refuse, proposez-le à une autre société, vous en
trouverez bien une qui acceptera. Faites un syndicat de femmes pour
défendre vos droits et surtout ceux de vos futurs enfants. C’est
votre devoir de donner la meilleure vie possible à votre enfant…
Aujourd’hui
un homme pour se reproduire doit demander l’autorisation à une
femme. Alors que les femmes peuvent recourir à la science pour le
faire sans homme.
Une
société est composée d’associés. Pourquoi certains membres, les
femmes, ont-ils le droit d’introduire de nouveaux associés dans la
société alors que les autres n’ont pas ce droit ?
Les
femmes se cachent derrière l’autoritarisme masculin, mais pour
qu’il y ait une autorité il faut qu’il y ait une soumission
acceptée. Les femmes (comme les hommes) ont le pouvoir de prendre un
fusil quand elles se font violer.
Si
elles ne prennent pas les armes, c’est qu’elles admettent leur
condition d’infériorité. On peut toujours se battre jusqu’à la
mort, et la mort des femmes, c’est la mort des hommes.
C’est
marrant que la notion d’égalité soit uniquement examinée du
point de vue de la réussite sociale. Les femmes ont la
toute-puissance créatrice de l’espèce. Ce sont elles les
décisionnaires en ce qui concerne la fabrication d’humains. Et la
planète est surpeuplée !
Tous
les criminels ont une maman. Tous les idiots ont une maman. Tous les
handicapés ont une maman. Tous les dictateurs ont une maman, et même
Hitler a eu une maman. Naitre en bonne santé et sain d’esprit est
normal, mais tous ces autres, qui les a mis au monde sans prendre
leur défense ?
Qui
ne s’est pas impliqué ? Qui a laissé faire ? Pas de
vie, pas de risque. Pourquoi concevoir le mâle qui va vous frapper ?
Pourquoi mettre au monde une femelle qui va se faire frapper ?
Pourquoi mettre au monde celui qui va vous dominer, celle qui va être
dominée ?
Les
femmes veulent tous les pouvoirs. Celui de création, elles n’ont
même pas été capables de le gérer sainement. La surpopulation est
la cause de tous les problèmes humains. Qu’elles gèrent d’abord
le problème de l’esclavagisme de l’enfant avant de penser à
elle.
Mettre
un enfant au monde, alors qu’elles ne sont pas bien dans ce monde,
c’est stupide, voire ignoble. La Terre est le berceau de
l’humanité. Qu’attendent-elles pour nettoyer le berceau avant de
pouponner ?
Le
cerveau des hommes et des femmes n’est pas identique. Les cerveaux
des hommes ne sont pas identiques entre eux, et les cerveaux des
femmes ne sont pas identiques entre eux non plus.
La
manière dont sont stockées les informations et les significations
n’est pas identique, et surtout elle n’a pas de relation avec la
manière dont la structure donne l’information ou la signification.
Ce qui veut dire que les différences de structure entre humains et
entre sexes a peu d’influence sur le contenu, et surtout aucun sur
le sens du contenu.
Par
exemple, l’objet pomme, son nom, et sa signification sont tous les
trois stockés avec le même type de mémoire, qui sont très
certainement des réseaux neuronaux, réseaux neuronaux qui n’ont
pas la même structure dans aucun cerveau que ce soit pour les hommes
et pour les femmes.
Les
croyants sont parfaitement bloqués, ce qui démontre que la
perfection est de ce monde. D’un côté, ils veulent nous faire
croire que le libre arbitre existe et donc que tout le monde est
responsable de ses actes, et de l’autre ils veulent nous faire
croire que le genre est supérieur au libre arbitre, et donc que
celui-ci ne peut transcender le genre, ce qui annule donc le libre
arbitre.
La
vraie question est de savoir si les capacités mentales peuvent
transcender le genre, et si la société peut mettre dans le même
sac égalitaire les hommes et les femmes, sont-ils égaux en volonté
et en prise de décision, en capacité mémorielle, etc., et donc
leur accorder mêmes droits et devoirs dans tous les domaines.
Après
nous avoir fait croire qu’âme et libre arbitre existent, les
croyants veulent nous faire gober qu’âme et libre arbitre ne
transcendent pas le genre féminin ou masculin, et qu’il y aurait
donc un esprit et un libre arbitre spécifique pour chaque genre, ce
qui conduirait à ne pas gérer les personnes par les mêmes lois, et
donc ne pas leur donner les mêmes droits…
Si
l’on ne compte que les enfermements en prison suite à un crime les
hommes sont majoritaires (plus de 96%) à près de 9 millions dans le
monde.
Mais
les femmes prisonnières de leurs hommes et par les lois islamistes
patriarcales sont bien plus nombreuses, elles se comptent par
centaines de millions dans le monde sans avoir commis d’autre crime
que celui d’avoir été obligé d’exister avec le sexe féminin
par maman, une femme violée patriarcalement.
L’abolition
du masculinisme et du féminisme doit passer par la reconnaissance
suivante : avant d’être une femme ou un homme, avant même
d’être un humain ou un transhumain, je suis un être sensible,
conscient, intelligent, je veux être considéré ainsi en première
approche, après c’est selon mon bon vouloir, et ce n’est à
personne d’autre de décider pour moi de ce que je suis intimement.
L’obligation
d’exister éventuellement handicapé, doit faire oublier toutes les
idéologies au profit de l’empathie que les êtres sensibles que
nous sommes devrions avoir envers ces personnes qui sont nées plus
faibles et pour servir, alors qu’il n’était absolument pas
nécessaire de les contraindre à exister et encore moins
handicapées.
Tous
les humains individuellement et la société humaine doivent se poser
la question de la validité d’imposer l’existence, et comment ils
comptent dédommager la personne handicapée ou plus faible que les
autres intellectuellement ou physiquement?
Le
« reproductivisme » est une idéologie encore plus
infecte que le machisme ou le féminisme. Unissons-nous pour
combattre le « reproductivisme ».
Il
est normal qu’une femme décide elle-même si elle veut engendrer
un enfant ou pas. Elle prend des risques mortels et morbides à
mettre au monde.
Mais
dans ce cas puisque la question de risques est évoquée pour la
personne mise en cause, pourquoi ce choix d’exister n’est-il même
pas envisagé pour l’être dont on crée l’existence sans aucune
maitrise de ce qu’il va être et devenir ? C’est bien lui
qui court le plus de risques, n’est-ce pas ?
S’il
n’y avait qu’une seule question, que toutes celles, qui désirent
fabriquer une nouvelle existence, devaient se poser, elle devrait
être celle-ci :
« Maintenant
que j’ai fabriqué un être souffrant, comment défaire la
souffrance ? »
Faim
E.
Berlherm (Mai 2016)
(Pour
ceux qui préfèrerait écouter ma douce voix ou parce que Maman/Papa
volontairement et Dame Nature involontairement leur ont imposé une
vue déficiente vous pouvez écouter ce texte sur YouTube, ici
https://youtu.be/Aw1rXhQAkyg)
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